NEWSLETTER JANVIER 2024

Assemblée générale du 19 avril 2024 – réservez cette date !

Grâce aux bons contacts établis, ces dernières années, avec l’Office fédéral de l’agriculture (OFAG), celui-ci nous accueillera le 19 avril 2024 pour notre prochaine assemblée générale. Après l’assemblée générale, le matin, et un court lunch debout, l’après-midi sera consacré à des échanges avec des représentantes et des représentants de l’OFAG.

Nous en profitons pour remercier dès aujourd’hui l’OFAG de sa précieuse collaboration. Réservez cette date et venez nombreux à notre assemblée générale !

Atelier EIE 2024 du 26 mars 2024 à Soleure

Le 26 mars 2024 aura lieu, dans le Landhaus, à Soleure, le prochain atelier EIE des cantons de Berne (office de l’environnement et de l’énergie) et de Soleure (office de l’environnement), en collaboration avec la svu|asep. A côté du thème principal « Energie et climat dans l’EIE », nous nous pencherons également sur d’autres thèmes pratiques en lien avec l’EIE.

L’après-midi, les membres de la svu|asep présenteront, à plus de dix postes, des faits intéressants et des nouveautés de leur travail quotidien, proposeront un aperçu de leurs projets et échangeront avec les participants. Le programme est ici !

Nous nous réjouissons de votre inscription d’ici au 1er février 2024. Les membres de la svu|asep bénéficient d’un tarif réduit.

Consultations

Trois réponses sélectionnées à des consultations relatives à la politique fédérale illustrent très bien la vaste gamme scientifique et thématique de notre engagement : il s’agit, dans la seconde moitié de l’année 2023, de modifications du terrain pour un amendement du sol, de la mise à disposition de données pour des analyses météorologiques et de l’environnement ainsi que de la gestion d’anciennes décharges chimiques.

 

Résumé de nos trois réponses :

  • L’OFEV a publié une nouvelle aide à l’exécution pour l’autorisation de modifications de terrain visant également un amendement du sol. Nous saluons fondamentalement cette approche, dans la mesure où les pratiques actuelles divergent fortement d’un canton à l’autre. A notre sens, il faudrait toutefois promouvoir davantage un objectif essentiel, à savoir l’amélioration de sols ayant subi des influences anthropogènes, p.ex. sur d’anciennes gravières. Pour l’aide à l’exécution, cela implique une plus grande attention accordée au maintien des sols agricoles et à leur éventuel assainissement. En d’autres termes : un poids plus important doit être accordé à la fonction de production des sols ; les opportunités allant dans ce sens doivent également être traitées de manière plus détaillée dans l’aide à l’exécution.
     
  • MétéoSuisse a lancé une consultation, pratiquement pour elle-même : MétéoSuisse met à disposition, plusieurs fois par jour, des données actualisées relatives à l’évolution de la météo. Il est important que ces données puissent être mises à disposition rapidement et sûrement pour des entreprises privées de prévisions météorologiques ou des institutions actives dans la prévision des dangers. La question de savoir dans quelle mesure MétéoSuisse peut/doit vendre elle-même sur ce marché des données préanalysées et agrégées sous différentes formes ou si cela représente une concurrence étatique importante envers des fournisseurs privés reste toutefois ouverte – et considérée de manière critique par la svu|asep.
     
  • Dans le cadre de l’assainissement d’anciennes décharges de grand volume, p.ex. de déchets de l’industrie chimique, on veillera à ce que l’assainissement ne se fasse pas selon une approche pragmatique/économique à courte vue, mais qu’il soit toujours conçu et réalisé afin d’éliminer durablement les dommages constatés à l’environnement. Nous sommes fondamentalement favorables à l’étude de variantes pour les projets d’assainissement, mais des approches telles que les procédés « in situ » et « on site » sont peu étudiées et encore moins éprouvées dans la pratique. En l’état actuel des connaissances, elles ne peuvent pas encore garantir le succès durable de l’assainissement. Par ailleurs, il faut pouvoir garantir une prévention optimale des risques (quasiment prophylactique), notamment en ce qui concerne les aquifères. Les procédures d’exception visées (en premier lieu pour une décharge dans le Haut-Valais) remettraient toutefois cela en question au lieu de le soutenir.

 

Les personnes qui souhaitent partager leur expérience professionnelle et technique sur ces thématiques (et bien d’autres) de la SVU|ASEP sont priées de me contacter : Matthias Gfeller, Kemptthal et Winterthur [Matthias.gfeller@remove-this.bluewin.ch] !